C’est amusant, comme on retrouve les vieux clichés dans les blagues. J’ai déjà ri sur le dos des français et des japonais, alors maintenant on va rire avec nos amis américains.

 

 

 

« Les Etats-Unis sont passés de la barbarie à la décadence sans connaître la civilisation ». – Albert Einstein

 

Comment appelle-t-on un homme cultivé aux USA ? Un touriste.

 

Un homme aveugle décide de visiter les États Unis. Il s’installe dans l’avion d’American Airlines, il touche le siège et dit : Mon dieu que ces sièges sont grands !

La personne à côté de lui, un américain lui répond : Yes ! Aux USA tout est immense !

Notre homme arrive à l’aéroport JFK, prend un taxi, touche la voiture et dit : Mon dieu que cette voiture est grande !

Le chauffeur se retourne et lui dit : Yes ! Ici en Amérique, tout est immense !

Notre aveugle arrive enfin à son hôtel. Il dépose ses bagages et se rend au bar pour y boire une bière.

Il prend le verre : Mon dieu, ces bières sont démesurées !

Le serveur lui répondit : Yes ! Ici en Amérique, tout est très très grand !

Après quelques verres, l’aveugle demanda où se situaient les toilettes. Le serveur lui indiqua la seconde porte à gauche. Il se dirigea vers les toilettes, mais se trompa de portes. Il prit la troisième qui donnait sur la piscine, et tomba dedans accidentellement. Mort de peur, l’aveugle se mit à hurler : Ne tirez pas la chasse d’eau…. Ne tirez pas la chasse d’eau !

 

Aux USA, quelqu’un qui s’intéresse à la culture européenne, c’est un intellectuel.
En Europe, quelqu’un qui s’intéresse à la culture américaine, c’est un… attardé !

 

Quelle est la différence entre un américain et un pot de yaourt ?
Contrairement à l’américain, le yaourt, au bout d’un certain temps, finit par développer une certaine culture.

 

Dans un hôtel, en France, un touriste français prend tranquillement son petit déjeuner (café, croissant, baguette, beurre et confiture). Un touriste américain mâchant son chewing-gum s’installe en face de lui. Bien que le français l’ignore, l’américain engage la conversation :

L’Américain : Vous les français, vous mangez tout le pain ?

Le Français (de mauvaise humeur) : Oui.

L’Américain (après avoir fait une grosse bulle avec son chewing gum) : Nous en Amérique, on mange juste l’intérieur. La croute, on la met dans des containers, on recycle en faisant des croissants et on les vends aux Français.

L’Américain a un petit sourire sur le visage, le français écoute en silence.

L’Américain persiste : Vous mangez la confiture avec le pain ?

Le Français : Oui.

L’Américain (une grosse bulle éclate sur sa figure et d’un coup de langue habile, il ravale son chewing-gum et continue à mâcher…) : Nous pas, en Amérique, on mange des fruits frais au petit déjeuner .Et on met les pelures, les pépins et les restes dans un containers, on les recycle en faisant de la confiture et on la vend aux Français.

Le Français demande alors : Faites-vous l’amour en Amérique ?

L’Américain : yeah bien sûr, très souvent dit-il avec un large sourire.

Le Français : Et que faites-vous des préservatifs utilisés ?

L’Américain : Et bien comme tout le monde, on les jette.

Le Français : Pas nous, une fois utilisés, on les recycle dans des containers, on fait du chewing-gum et on le vend aux Américains

 

Un touriste américain visite la campagne palestinienne un jour de grande chaleur. Il est prêt à succomber, lorsqu’il arrive devant une charmante petite ferme à la porte de laquelle est assis un vieil homme qui fume le narguilé.

Hello, pourriez-vous avoir la gentillesse de me donner boire.

Bien sûr, entrez, je vous en prie.

L’américain entre, se désaltère, puis examine les lieux d’un œil bienveillant :

– C’est mignon, chez vous. Et vous avez combien de terrain ?

– Oh, environ un quart d’hectare devant la maison et un petit jardin derrière.

– Moi, je suis du Texas, vous connaissez ? Quand je prends ma voiture le matin pour faire le tour de mes terres, je n’ai pas terminé le soir même !

Le vieux paysan palestinien réfléchit un long moment, en silence, avant de de répondre, et puis il compatit :

– Oui, moi aussi, j’ai déjà eu une vieille voiture comme ça …

 

Un milliardaire américain propose 10 puits de pétrole ou 10 000 têtes de bétail ou la main de sa fille à celui qui traversera une piscine bourrée de serpents. Finalement, un type saute dans la piscine et la traverse à toute vitesse. Le milliardaire lui dit qu’il peut lui demander tout ce qu’il désire: les puits de pétrole, le bétail, ou la main de sa fille. Le type refuse tout. Mais qu’est-ce que vous voulez, alors ? Je veux savoir quel est le salaud qui m’a poussé !

 

Théodore Roosevelt, alors qu’il était président des Etats-Unis, fit un grand voyage à travers le pays et s’arrêta dans une réserve indienne, où il rendit visite au Grand Chef. Il s’étonna que celui-ci ait six épouses.

Il lui en fit la remarque : Mon cher ami, vous devriez en choisir une et renvoyer les cinq autres dans leur famille !

D’accord, Grand Chef blanc, mais à une condition : vous choisissez celle que je dois garder et vous annoncez vous-même la nouvelle aux cinq autres !

 

Un investisseur américain se promène au bord de l’eau, dans un petit village côtier mexicain.
Un bateau rentre au port, contenant plusieurs thons. L’américain complimente le pêcheur mexicain sur la qualité de ses poissons, et lui demande :
– Combien de temps ça a pris pour pêcher ces poissons ?
– Pas très longtemps, répond le Mexicain.
– Mais pourquoi n’êtes-vous pas resté plus longtemps pour en capturer davantage ? demande le banquier.
– Parce que ces quelques poissons suffiront à subvenir aux besoins de ma famille.
– Et vous faites quoi le reste du temps ?
– Je fais la grasse matinée, je pêche un peu, je joue avec mes enfants, je fais la sieste avec ma femme… Le soir, je vais au village, voir mes amis, boire du vin, jouer de la guitare… Une vie bien remplie, quoi !
L’américain l’interrompt :  J’ai un M.B.A. (master of business administration) de Harvard, et je peux vous aider. Vous devriez commencer par pêcher plus longtemps, et avec les bénéfices dégagés, vous pourriez vous acheter un plus gros bateau. Avec l’argent que vous rapporterait ce bateau, vous pourriez en acheter un second, et ainsi de suite jusqu’à ce que vous possédiez une flotte de chalutiers. Au lieu de vendre vos poissons à un intermédiaire, vous pourriez négocier directement avec l’usine, et même ouvrir votre propre usine. Vous pourriez alors quitter votre petit village pour Mexico City, Los Angeles, puis peut-être New York, d’où vous dirigeriez vos affaires…
Le Mexicain demande alors : Combien de temps ça prendrait ?
– Quinze à vingt ans, répond le banquier.
– Et après ?
– Après, c’est là que ça deviendrait intéressant, répond l’américain en souriant. Quand le moment sera venu, vous pourriez introduire votre société en bourse, et vous gagnerez des millions !
– Des millions ? Mais après ?
– Après, vous pourrez prendre votre retraite, habiter dans un petit village côtier, faire la grasse matinée, jouer avec vos enfants, pêcher un peu, faire la sieste avec votre femme et passer vos soirées à boire et à jouer de la guitare avec vos amis...

 

Vous en avez d’autres ?

 

Cet article a 8 commentaires

  1. Gwen

    Oh que c’est vilain de se moquer (je dis ça de façon tout à fait hypocrite car j’adore ;D) Et puisque tu as fait un épisode sur les français no problem !

  2. Greyce

    Mdr! Chez nous, les blagues sur les étrangers c’est souvent sur les portugais et il me semble qu’au Portugal c’est le sens inverse. lol

  3. Sylvie

    Oh ! en France, on a aussi des blagues sur les portugais 🙂 mais sur les brésiliens, je ne sais pas !

    1. Maaaamaaaa

      Merde ????????????????????????????????????????

  4. Sylvie

    Je revendique les blagues ! Avec de l’humour, on fait passer tant de choses et même sans message, qu’est-ce que ça fait du bien de rire !

  5. Liza

    Pour un américain c’est YES, WE CAN, pour un français YES WEEK END !

  6. FABRICE

    Quel est le point commun entre un Américain et un Zoophile? Pour Thanksgiving, ils fourrent une dinde avant de la manger.

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